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"Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean I Charles (1581 à 1596)"

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Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-206 (1593-1595)

180 JD
189 JD

...
283 Ch
297 Ch

300 B
310 JD
345 JD

358 B
370 Ch
378 Ch

386 Ch
388 Ch

390 JD
400 JD

403 B
407 Ch

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=889025
Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-207 (1596)

1 Ch

20 Ch
34 Ch

54 JD
71 JD

79 B
86 JD
98 JD

107 Ch
111 Ch
131 JD
141 JD
148
177
179
190
205
207
209
219
235
249
258
267
271
277
283
290
304
320
327
333
337
354

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Inventorier les biens du défunt, oui, mais encore faut-il les trouver !...

[206 – 180] 20 avril 1595 – Inventaire dressé après le décès de feu noble homme Me Philippe JOURNÉE, avocat en la cour de parlement, à la requête de sa veuve damoiselle Catherine BRUSLE, demeurant rue Galande, en son nom et comme tutrice de leur fille mineure Madeleine JOURNÉE, et en la présence de noble homme Me Archambault DUPONT, avocat en parlement, au nom et comme subrogé tuteur de ladite mineure, habile à hériter du défunt.
Ladite veuve déclare renoncer aux biens de la communauté d’entre ledit défunt et elle, et que la plus grande partie des biens meubles demeurés après le décès dudit défunt ne sont de la succession de celui-ci, mais proviennent de feu Jacques DELACROIX son premier mari, ou de celle de feu Me Simon BRUSLE, commissaire et examinateur au Châtelet de Paris, son père.
(vue 187) cote 1 : 1575 – contrat de mariage entre lesdits Philippe JOURNÉE et Catherine BRUSLE.

[206 – 189] 17 avril 1595 – Inventaire dressé après le décès de défunt Me Jean LECOURT, sieur des Blancs Fassy, à la requête de Me Claude DESSARDY, praticien et bourgeois de Paris, demeurant en la rue Saint-Hilaire, à l’enseigne du Chaudron, curateur aux biens vacants du défunt, qui s’est transporté, accompagné du notaire, au domicile de noble homme Me Jean VYON, conseiller du Roi et auditeur en sa chambre des comptes, tuteur et curateur des enfants mineurs de lui et de feue dlle. Marguerite LECOURT sa femme, sis à Paris, rue Poupée, où ledit DESSARDY a interpellé leur fils Pierre VYON, ledit Jean VYON étant alité et souffrant, pour savoir en quels lieux se trouvaient les biens délaissés par le défunt, lequel Pierre VYON a déclaré qu’il n’en détenait aucun. Ensuite ledit DESSARDY s’est rendu au domicile de noble homme Pierre POUSSEPIN sieur d’Aulnay, conseiller, notaire et secrétaire du Roi, et de dlle Marie LECOURT sa femme, sis rue des Barres, paroisse Saint-Gervais, qui a aussi déclaré ne savoir où se trouvaient lesdits biens. Puis il s’est enfin rendu au collège St-Michel, où ledit défunt avait résidé, et où il a parlé à Me Jacques LAUDREY, avocat en la cour de parlement, qui s’est dit créancier du défunt, et détenteur de deux titres lui appartenant.

Bonne soirée à tous.
JD
bertrandg
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Bonjour,

On va bientôt attaquer la dernière liasse de ce roman fleuve à la mémoire de Maître Charles !
La suite de l'avant-dernière en attendant :

[206-300] 19 novembre 1593 - Inventaire après le décès de feu noble Maître Jacques DORRE, commissaire ordinaire de l'artillerie, à la requête de noble demoiselle Anne HUBON, sa veuve, à présent femme de noble homme Jean JABIN, écuyer, seigneur des Bordes demeurant ordinairement à Orléans, tutrice de Jacques DORRE, son fils mineur et du défunt, assistée de Maître Charles Noblet, procureur au Châtelet de Paris, son procureur.
(vue 305) cote 1 : 2 janvier 1583 - contrat de mariage de Jacques DORE et Anne HUBON.

A suivre...

Bertrand
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Bonsoir à tous,

Sans introduction :

[206–283] Le jeudi 9 décembre 1593 – Inventaire après le décès survenu le 7 décembre 1593, de noble femme Catherine CATIN, veuve de noble homme maître Nicolas de NOYON, avocat en Parlement. A la requête de vénérable et discrète personne maître Alain MOUSSET, prêtre, procureur du Collège de Sainte-Barbe fondé en l’Université de Paris, maître Nicolas de NOYON, prêtre bachelier en théologie en ladite Université, curé de Saint-Martin ès faubourgs Saint-Marcel lès Paris, en son nom et encore lesdits MOUSSET et de NOYON exécuteurs du testament de la défunte. Et en la présence de honorables personnes François de NOYON, Anne de NOYON, femme autorisée par justice au refus de honorable homme maître Bernard ANQUETIN son mari, procureur au Parlement, et de honorable homme maître Nicolas D…, commissaire examinateur au Châtelet de Paris, au nom et comme tuteur et curateur des enfants mineurs de lui et de feue honorable femme Françoise de NOYON jadis sa femme. Lesdits Nicolas, François et Anne de NOYON, frères et sœur, habiles avec les mineurs à se dire héritiers de la défunte leur mère. Les biens étant en plusieurs lieux des appartenances du Collège Sainte-Barbe.
(vue 291) cote 1 : 1593 – Testament de la défunte.
(vue 291) cotes 2, 3, 4, 5, 6 : 1565 – Comptes rendus par ledit défunt de NOYON de l’exécution testamentaire de maître Jean CATIN, avocat en ladite cour de Parlement, à Marie CATIN, Audebert CATIN, Léon CATIN. 1593 – Compte par ladite Catherine CATIN, alors veuve dudit de NOYON.
(vue 294) cote 14 : 1560 – Maître Jean CATIN, Marguerite CATIN, Marie CATIN, Audebert, Nicolas, Barbe et Léon CATIN font délivrance audit Nicolas de NOYON et sa femme de 100 livres de rente.

[206–297] Le mardi 23 novembre 1593 – Inventaire après le décès arrivé dès deux mois sont ou environ, de Nicole TASSET, veuve de Geoffroy CERTAINVILLE, maître savetier à Paris. A la requête de Jean LAISNÉ, maître jardinier demeurant ès faubourgs Saint-Germain-des-Prés lès Paris, au nom et comme tuteur et curateur de Nicole CERTAINVILLE, fille mineure des défunts et habile à hériter de sa mère. Et en la présence de Jean LEFRANC, maître savetier à Paris demeurant rue des Noyers, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en une chambre des appartenances d’une maison sise rue du Foin, où elle serait décédée.
(vue 299) cote 1 : 10 octobre 1590 – Ladite Nicole TASSET renonce à la communauté de biens d’entre ledit défunt et elle.
Cote 2 : 1590 – Inventaire après le décès dudit Geoffroy CERTAINVILLE, à la requête de sa veuve, Nicole TASSET.

A plus tard
Christophe.
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Bonjour les amis,

une suite que je me suis octroyée :

[206–370] Le vendredi 4 juin 1593 – Inventaire après le décès de Françoise TASSET. A la requête de son mari, Charles DESNOUELLES, maître maçon à Paris, y demeurant rue Saint-Victor, où est pour enseigne le Château de Milan, appartenant au principal procureur et boursiers du Collège de Fortet fondé en l’Université de Paris. Pareillement à la requête de Guillaume TASSET, maître boulanger demeurant ès faubourgs Saint-Jacques, au nom et comme tuteur et curateur de Martine GIFFART, fille mineure de feus Jacques GIFFART, marchand boucher et de ladite Françoise TASSET jadis sa femme, en l’absence de Jean DOSNY, subrogé tuteur de la mineure, et en la présence de maître Claude CROIZIER, au nom et comme procureur dudit Collège de Fortet, créancier d’iceux DESNOUELLES et de la défunte. Ledit DESNOUELLES proteste que ledit inventaire ne puisse préjudicier à la vendicquation (?) et distraction qu’il entend faire des biens contenus en l’inventaire fait après le décès de feue Jeanne DARCY, au profit de Antoine DESNOUELLES, son fils et de ladite défunte, duquel il est tuteur.
(vue 376) cote 1 : 1589 – Contrat de mariage entre Charles DESNOUELLES et Françoise TASSET.
Cote 2 : 1585 – Catherine GIFFART, veuve de Jean DESMARETZ, maître faiseur d’esteufs à Paris, demeurant rue des Prêtres, vend audit défunt Jacques GIFFART son frère 10 écus de rente annuelle et perpétuelle.
Cote 3 : 1587 – Marguerite DELAUNAY, veuve de Laurent FOURNIER, voiturier par terre, vend audit défunt GIFFART la 6e partie par indivis en une maison et jeu de paume sise en la rue des Prêtres, où pend pour enseigne le Pré.
Cote 4 : 1588 – Inventaire après le décès de Jacques GIFFART, à la requête de sa veuve, ladite Françoise TASSET.
Cote 5 : 1589 – Inventaire après le décès de Jeanne DARCY, première femme dudit Charles DESNOUELLES.

[206–378] Le vendredi 28 mai 1593 – Inventaire de séparation de biens, à la requête de honorable femme Catherine PLEAU, femme séparée quant aux biens d’avec Claude BLANCHON son mari, marchand de vins, bourgeois de Paris. Assignation donnée à honorable homme maître Jean HEMERY, procureur en la cour de Parlement, procureur dudit BLANCHON, de présent absent de cette ville de Paris. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue du Mont-Sainte-Geneviève.

A bientôt
Christophe.
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Bonjour à tous

[206 – 310] 12 novembre 1593 – Inventaire dressé après le décès de défunte honorable femme Anne BROUTESAULGE, à la requête de son veuf honorable homme sire Guillaume LE JUGE, marchand boucher bourgeois de Paris, demeurant aux boucheries du Mont-Sainte-Geneviève, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, en son nom et comme exécuteur testamentaire de la défunte ; pareillement à la requête d’honorable homme Gilles BOUCHER, marchand bourgeois de Paris, en son nom et comme tuteur et curateur d’Étienne et Denise BOUCHER, enfants mineurs de défunt honorable homme Guillaume BOUCHER et de ladite défunte BROUTESAULGE ; semblablement à la requête d’honorable femme Marguerite BOUCHER, femme d’honorable homme Gilles DUCHAUFFOURT, marchand demeurant à Verbois, lesdits Gilles, Marguerite, Étienne et Denise BOUCHER, frères et sœurs habiles à hériter de la défunte leur mère.
(vue 337) cote 1 : 1586 – contrat de mariage entre lesdits Guillaume LE JUGE et Anne BROUTESAULGE.
(vue 337) cote 4 : 1585 – actes concernant honorable femme Françoise BOUCHER qui était femme dudit Guillaume LE JUGE.
(vue 337) cote 5 : 1585 – contrat de mariage entre Robert BORDIER et Girarde LE JUGE, fille desdits Guillaume LE JUGE et Françoise BOUCHER.
(vue 338) cote 6 : 1585 – contrat de mariage entre Jean LE JUGE, fils desdits Guillaume LE JUGE et Françoise BOUCHER, et Geneviève PUISSON, fille de Jean PUISSON et Marie SALLEBRUSSE.
(vue 338) cote 7 : 1590 – contrat de mariage entre Pierre CUVILLIER et Marie LE JUGE, fille desdits Guillaume LE JUGE et Françoise BOUCHER.

[206 – 344] 8 juillet 1593 – Inventaire dressé après le décès de feu Henri DE L’HOSPITAL, vicomte de Vaulx, à la requête de Me Nicolas DUCLOZ, procureur au Châtelet de Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolas, procureur de messire Jacques DE L’HOSPITAL, chevalier de l’ordre du Roi, comte de Choisy, héritier par bénéfice d’inventaire du défunt son oncle ; pareillement à la requête d’honorable homme Me François PHLIPONNAT, aussi procureur audit Châtelet, demeurant rue de la Parcheminerie, paroisse Saint-Séverin, procureur de messire Anne DE L’HOSPITAL, aussi chevalier, sieur de Saint-Mesme, aussi héritier dudit défunt son oncle, et en la présence de vénérable et discrète personne Me Jacques LESUR, procureur et receveur du collège de Laon fondé en l’université de Paris, assisté d’honorable homme Me Antoine Badray, procureur audit Châtelet et procureur dudit collège.
Les biens étant en une chambre et études des appartenances dudit collège de Laon que ledit défunt tenait à loyer.

La famille de l’Hospital étant bien documentée, je m’en tiens là.

À bientôt.
JD
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Bonjour,

Aujourd'hui, je vous propose :

[206-358] 18 juin 1593 - Inventaire après le décès de feu Maître Jérôme THIVERNY, notaire et procureur ès cours ecclésiastiques à Paris, à la requête de noble Maître Gilles MORIER, avocat en Parlement, procureur et mari de Marie THIVERNY sa femme, fille du défunt. En la présence de Maître Etienne OUDET, commissaire examinateur au Châtelet de Paris, subrogé tuteur des enfants mineurs de feus maître Leon OUDET et de (en blanc) jadis sa femme, desquels mineurs le défunt THIVERNY était tuteur et curateur. En la présence de plusieurs créanciers... Biens trouvés en une maison et appartenances sise rue des Noyers, en laquelle le défunt est décédé.

A bientôt

Bertrand
cdemaz
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Bonjour à tous,

très rapidement :

[206–386] Le lundi 12 avril 1593 – Inventaire de ses biens avant mariage, à la requête de Guillemette BERTHELLEMY, veuve de Robert BULLON, cuisinier, demeurant rue des Trois-Portes, et en la présence de Antoine SALLEMON, courtier juré de chevaux à Paris, son accordé par mariage suivant leur contrat par-devant Mathurin Périer et Jean Charles, notaires au Châtelet de Paris.

et son miroir :

[206–388] Le lundi 12 avril 1593 – Inventaire de ses biens avant mariage, à la requête de Antoine SALLEMON, courtier juré de chevaux à Paris demeurant rue Perdue, en la présence de Guillemette BERTHELLEMY, veuve de Robert BULLON, cuisinier, son accordée par mariage.

Je m'occuperai de faire le pont entre la fin de cette liasse et le début de la liasse suivante.
A bientôt
Christophe.
cdemaz
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Bonsoir chers amis,

Peut-être un accident du travail (c'est la première fois que je rencontre cette profession) :

[206–407] Le 25 janvier 1593 – Inventaire après le décès de Jean BERTHAULT, vendeur de mort aux rats. A la requête de sa veuve Marie BOUCQUET, demeurant rue Saint-Victor, en la maison où est pour enseigne l’Image Notre-Dame. Les biens étant en une chambre au premier étage sur le derrière de ladite maison où le défunt serait décédé.

Et un vrai personnage de BD, mélange de Homer Simpson et de Achille Talon :

[207–1] Le 2 septembre 1596 – Inventaire après le décès de Félix LEMOYNE, tombier (maître faiseur de tombe, cote 22) à Paris demeurant rue de la [...]. A la requête de noble homme maître Omer TALLON, avocat en la cour de Parlement et l’un des échevins de cette ville de Paris, et de honorable homme Jean GOURJON, […] maître apothicaire et épicier, bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteurs du testament du défunt avec noble homme [Philbert, cote 24] CHOART, aussi avocat en ladite cour de Parlement à Paris, demeurant rue d[…]. A la requête aussi de Pierre LEMOYNE, aussi tombier demeurant en la ville de [Provins, vue 18], et de Claude JAUNAY (signe JEUNAY), menuisier demeurant ès faubourgs Saint-Germain-des-Prés lès Paris et de Marguerite LEMOYNE, sa femme. Lesdits Pierre et Marguerite LEMOYNE, frère et sœur, et habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt Félix LEMOYNE, leur frère. Les biens étant en une maison et ses appartenances, sise à Paris, rue Saint-Jacques appartenant audit défunt, et en une chambre et cellier des appartenances du Collège de Sées.
(vue 16) cote 23 : 1586 – Testament de défunte Marguerite LOUVET, au jour de son décès femme dudit Félix LEMOYNE.
(vue 16) cote 24 : 1596 – Testament dudit Félix LEMOYNE, qui donne le surplus de ses biens après son testament à maître Jacques CHOART. Il élit pour exécuteurs ledit sieur TALON, maître Philbert CHOART, avocat en ladite cour et Jean GORJON, maître épicier apothicaire, bourgeois de Paris.

A bientôt
Christophe.
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Rien d'aussi original côté professions :

[206 – 390] 27 février 1593 – Inventaire avant mariage dressé la requête de dlle Madeleine GRUGET, veuve de feu noble homme Denis GARNIER, sieur de Saint Barthélémy, demeurant à Paris, rue de Hautefeuille, paroisse Saint-Côme-et-Saint-Damien, et noble homme Scipion DEPITORCY, bourgeois de Paris, son fiancé.
(vue 395) cote 4 : 1587 – contrat de mariage entre lesdits Denis GARNIER et Madeleine GRUGET ; noble homme Me Simon DE LA VERGNE beau-frère d’icelle Madeleine GRUGET.

[206 – 400] 29 janvier 1593 – Inventaire dressé après le décès de feu Nicolas BUNEAU, sergent à verge au Châtelet de Paris, à la requête de sa veuve Denise DELAPLANCHE, en son nom, comme créancière dudit défunt, après qu’elle a dit qu’elle renonçait à leur communauté de biens, et comme tutrice et curatrice de leur fils mineur Charles BUNEAU, et en la présence d’honorable homme Laurent TRUBERT, maître apothicaire épicier bourgeois de Paris, subrogé tuteur dudit mineur, habile à hériter dudit défunt ; pareillement en la présence et requête de Marie BUNEAU / BUINEAU, âgée de 24 ans, stipulant tant pour elle que pour Nicolas et Jacqueline BUNEAU ses frère et sœur, enfants mineurs du défunt et de défunte Marie ASENFFAS jadis sa femme en premières noces, aussi habiles à hériter d’icelui défunt.
Les biens étant en une maison assise rue des Lavandières.

Bonne soirée et à bientôt.
JD
bertrandg
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Bonjour,

Un pt'it pas très original pour finir la liasse :

[206-403] 25 janvier 1593 - Inventaire après le décès de feu Pierre DELAPLANCHE, maître tailleur d'habits à Paris, à la requête de Jeanne GUYON, sa veuve, tutrice et curatrice de Nicole et Pierre DELAPLANCHE, leurs enfants mineurs. En la présence de Maître Jean TRIFFAULT, prêtre, président au collège de Montagu fondé en l'université de Paris, subrogé tuteur des mineurs. Aussi à la requête de Françoise DELAPLANCHE, âgée de 22 à 23 ans, fille du défunt et de feue Marguerite DOYE, sa première femme. Inventaire des biens trouvés en une maison sise place Maubert, en laquelle le défunt est décédé. Aussi en la présence de Denise DELAPLANCHE, veuve en dernières noces de feu Nicolas BUNEAU, sergent à verge au Châtelet de Paris, fille dudit défunt et de sa femme en premières noces, qui a renoncé à la succession dudit défunt son père.

Bien vu Pour Buneau JD !
Bonne journée.

Bertrand
Última edición por bertrandg el 03 Diciembre 2021, 18:50, editado 2 veces en total.
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bertrandg escribió: 03 Diciembre 2021, 14:01 . Aussi en la présence de Denise DELAPLANCHE, veuve en dernières noces de feu Nicolas BRUNEAU, sergent à verge au Châtelet de Paris
Bonjour Bertrand

Ça fait au moins 3 actes qu'on voit passer sur cette famille.
Même si le nom est rare, notre sergent à verge s'appelle plutôt BUNEAU que BRUNEAU :
Screenshot 2021-12-03 at 17-13-24 AN MC ET XVIII 206 01 01 1593 - 12 31 1595 Paris (Paris, France) - Geneanet.png
Screenshot 2021-12-03 at 17-13-24 AN MC ET XVIII 206 01 01 1593 - 12 31 1595 Paris (Paris, France) - Geneanet.png (47.97 KiB) Visto 274 veces
Bonne soirée à tous
JD
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Bonsoir à tous

[207 – 54] 17 décembre 1596 – Inventaire dressé après le décès, survenu au moins 3 mois auparavant, de la maladie contagieuse, de feus Merlin RICHER, marchand laboureur, et Madeleine BONNEVAL sa femme, demeurant à la ferme du Pressoir / Pressouer, sise ès faubourg Saint-MIchel, à la requête de Jean CHAUVIERE, laboureur demeurant Villeneuve-le-Roi, en son nom à cause de Nicole RICHER sa femme, et comme tuteur et curateur de Catherine et Simone RICHER, enfants mineurs des défunts ; à la requête aussi de Pierre RICHER, laboureur demeurant en ladite ferme, usant et jouissant de ses droits, et de Jean ALLAN, laboureur voiturier demeurant ès faubourg Saint-Germain-des-Prés, tuteur de Denis ALLAN, fils mineur de lui et de feue Perrette RICHER jadis sa femme, lesdits Pierre, Catherine, Simone RICHER, enfants d’iceux défunts, et ledit Denis ALLAN, tous héritiers desdits défunts.
Les biens étant en ladite ferme du Pressoir que les défunts tenaient des gouverneurs de l’Hôtel-Dieu de Paris.

[207 – 71] 16 décembre 1596 – Inventaire dressé après le décès de défunt Martin LEMOYNE, maître savetier à Paris, à la requête de sa veuve Emonne CHARDON et de Jean HEDOUVILLIER / HEDONVILLIER / HEDONVILLER, juré courtier de vins à Paris, demeurant rue Saint-Victor, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, exécuteur testamentaire du défunt, et en l’absence de Yolande VILLAIN, veuve de feu Pierre GAULMONT, tutrice et curatrice de Claude LEMOYNE, fils mineur d’elle et de défunt Philippe LEMOYNE son premier mari, ledit mineur héritier dudit défunt son oncle.
Les biens étant en une maison sise rue Quincampoix.
(vue 77) cote 2 : 1594 - inventaire après le décès de feu Pierre CAVILLON, à la requête de ladite Emonne CHARDON.
(vue 77) cote 3 : 1594 – contrat de mariage entre lesdits Martin LEMOYNE et Emonne CHARDON, veuve de feu Pierre CAVILLON.

À bientôt.
JD
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Bon week-end à toute la compagnie,

poursuivant nos pérégrinations :

[207–20] Le 31 décembre 1596 – Inventaire après les décès de Françoise LEBERT, femme au jour de son décès de feu maître Jean CHASLES, précepteur et maître écrivain à Paris. A la requête de Gilles RIVERAIN, huissier sergent au bailliage et châtellenie de Nogent-le-Roi (28210), en son nom à cause de Nicole LEBERT sa femme, et encore comme tuteur et curateur des enfants mineurs de feus Barnabé LEBERT, vivant maître cordonnier demeurant à Paris. En la présence de honorable homme maître Jacques MARQUANT, procureur en Parlement, subrogé tuteur desdits mineurs, noble homme maître Guillaume DE LA PORTE, conseiller du Roi, sieur de la Grand-Maison, bourgeois de Paris, demeurant rue des Carmes, Jeanne CHASLES (signe CHALLES), sa femme à cause d’elle, maître Jean CHASLES, commis au greffe civil de la cour de Parlement, demeurant près l’église Saint-Séverin, maître François CHASLES, précepteur en l’Université de Paris, demeurant rue Saint-Victor, Guillaume NYON, doreur de livres, bourgeois de Paris, Marie CHASLES, sa femme, et honorable femme Marie LEVAVASSEUR, veuve de feu maître François COURTOYS, bourgeois de Paris. Lesdits Nicole LEBERT, Marie LEVAVASSEUR, et enfants mineurs dudit défunt Barnabé LEBERT, seuls héritiers de défunte Françoise LEBERT, et lesdits Jean, François, Jeanne et Marie CHASLES, aussi seuls héritiers et pour le tout dudit défunt Jean CHASLES. Les biens étant en une maison sur le derrière des appartenances d’une maison sise à Paris, rue Saint-Jacques, où est pour enseigne l’Agnus (?), en laquelle la défunte serait décédée de la maladie contagieuse dès le mois de juillet 1596.
(vue 28) cote 1 : 1578 – Contrat de mariage maître Jean CHALLES x Françoise LEBERT. Marie BRUNEAU donne 6 écus en faveur du mariage.
Diverses acquisitions à Bougival.
(vue 29) cote 14 : 1574 – Barnabé LEBERT, compagnon cordonnier à Paris, vend 2 arpents de terres audit Jean CHASLES.
(vue 33) Inventaire après le décès de Pasquette BRUNEAU, tante desdits mineurs (enfants de Barnabé LEBERT) et de ladite feue Françoise LEBERT.

Nous déplorons le décès d’un de nos notaires, qui a co-signé avec Jean I Charles plusieurs des actes que nous avons analysés. Paix à son âme.

[207–34] Le jeudi 19 décembre 1596 – Inventaire après le décès de honorable homme maître Nicolas FARDEAU, notaire du Roi en son Châtelet de Paris. A la requête de sa femme, honorable femme Catherine DENIAU, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de Catherine, âgée de 16 ans ou environ, François, âgé de 18 ans, Antoine, âgé de 5 ans, François, âgé de 2 ans, et Jacques FARDEAU, âgé de 7 mois, leurs enfants mineurs. Et en la présence de maître François FARDEAU, procureur en la cour de Parlement, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une maison sise place Maubert, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, en laquelle le défunt serait décédé. La veuve à renoncé à la communauté pour la conservation de ses conventions matrimoniales.
(vue 40) Les registres, minutes et pratiques dudit défunt et de défunt maître Catherin FARDEAU, vivant aussi notaire. (1597) Nicolas FARDEAU : 21 registres pour l’année 92 et 93 et en 19 liasses de minutes d’inventaires etc. Catherin FARDEAU : 36 registres etc. prisés 80 écus.
(vue 40) cote 1 : 1575 – Contrat de mariage Nicolas FARDEAU X Catherine DENIAU. Honorable homme François DENIAU, bourgeois de Paris, père de la future promet 100 livres de rente.
(vue 41) cote 2 : 1585 – Jean FARDEAU, procureur au Châtelet de Paris, cède audit Nicolas FARDEAU tous les droits et portion provenant de la succession de défunts maître Catherin FARDEAU et Noémie CROZON sa femme, père et mère commun des parties.
Cote 3 : 1588 – Marguerite FARDEAU, fille dudit Catherin FARDEAU et de ladite Noémie sa femme, suffisament âgée.
Cote 4 : 1582 – Contrat de mariage honorable homme maître Thomas LEGRAND, procureur au Châtelet de Paris x Madeleine FARDEAU, fille desdits défunts maître Catherine FARDEAU et Noémie CROSON. Ledit Nicolas FARDEAU promet 333 écus un tiers.
(vue 42) cote 5 : 1588 – Robert de LABORNE, capitaine du château de Milly en Gâtinais (Milly-la-Forêt, 91490), et Noymy (Noémie) FARDEAU, sa femme, cèdent audit Nicolas FARDEAU tous les droits successifs de la succession desdits défunts Catherin FARDEAU et Noymy CROSON.
(vue 45) cote 13 : 1595 – Echange entre ledit (Nicolas) FARDEAU, héritier pour un douzième de feue Marie FARDEAU, sa sœur, et Pierre ROBERT, huissier sergent à cheval au Châtelet, aussi héritier pour un douzième. Défunt maître Michel CHARPENTIER, jadis mari de ladite Marie FARDEAU.
(vue 46) cote 16 : 1586 – Transaction entre ledit maître Nicolas FARDEAU et maître Jacques FARDEAU, aussi notaire au Châtelet qui cède ses droits successifs de défunts Catherin FARDEAU et Noémie CROSON sa femme, père et mère communs desdites parties.
(vue 46) cote 19 : 1588 – Guillaume LECOCQ, procureur en la cour de Parlement et Catherine FARDEAU sa femme, à cause d’elle et encore ledit LECOCQ comme tuteur des enfants mineurs de défunt maître Nicole de LOUAN et de ladite FARDEAU.
(vue 49) cote 28 : 1591 – Transaction entre François DENYAU, marchand et bourgeois de Paris d’une part et ledit FARDEAU et ladite Catherine DENIAU sa femme, fille et héritière de défunte honorable femme Emonne(?) LESAIGE jadis sa mère et première femme dudit DENIAU, pour raison de la tuition que ledit DENIAU aurait eu de la personne et biens de ladite Catherine DENIAU.
(vue 53) cote 35 : 1575 – Collation du contrat de mariage d'entre honorable homme Philippe GIRARD, procureur au grand conseil du Roi et Louise FARDEAU, fille desdits défunt Catherin FARDEAU et Noémie CROZON.

Effectivement, merci Jean Paul. Copier/Coller, tu nous perdras !

A bientôt
Christophe.
Última edición por cdemaz el 04 Diciembre 2021, 14:02, editado 1 vez en total.
jeanpaumelinon
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bonjour Christophe,
J'ai l'impression que le second inventaire que tu as numéroté [207-20] est en fait le [207-34]
Cordialement
Jean Paul
jdp1
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Voici la suite :

[207 – 86] 12 décembre 1596 – Inventaire dressé après le décès de Catherine D’ISLE, veuve de feu Blaise BERTHOLLET, à la requête de Florent FENAS, marchand de vins à Paris, demeurant rue Saint-Victor, tuteur et curateur de Jeanne et Claude BERTHOLLET, enfants mineurs des défunts, et en la présence de Jacques BUSSEROLLES, marchand libraire relieur de livres à Paris, subrogé tuteur des mineurs, habiles à hériter de leurs parents.
Les biens étant en une maison sise rue Saint-Victor, où la défunte est décédée de la maladie contagieuse, montrés par ledit FENAS et par Jacqueline DE BUSSEROLLES.
(vue 95) cote 1 : 1594 – contrat entre, d’une part, lesdits Jacques et Jacqueline BUSSEROLLES et ladite Catherine D’ISLE, en leur nom et comme se faisant forts de Tiphaine D‘ISLE, veuve de feu Nicolas OUALLON, procureur ès cours ecclésiastiques à Beauvais, héritiers quant aux propres de Me Antoine DELAPORTE, bourgeois de Paris, et, d’autre part, Nicolas Adam, vigneron à Saint-Ouen.

[207 – 98] 27 novembre 1596 – Inventaire dressé après le décès, survenu 15 jours auparavant environ, de feu honorable homme Charles MABIRE, maître cordonnier, à la requête de sa veuve honorable femme Jeanne DELACOURT, en son nom et comme tutrice et curatrice de leurs enfants mineurs Georges, âgé de 16 ans, et François MABIRE, âgé de 4 ans et demi ou environ, et encore comme exécutrice testamentaire du défunt, et en la présence de Philippe LE FRICQUE, aussi maître cordonnier à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, habiles à hériter de leur père.

Bonne fin de soirée.
JD
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