Famille PERBET AIDE RECHERCHE

[blaise42]

Bonjour, je me permet de demander de l'aide car je n'ai pas acces aux archives de saint etienne loire car comme toujours les premieres recherches ne sont pas assez anciennes pour les avoir .GRRRRR j'ai envoyé message à la mairie pas vraiment de reponse.
Je cherche les parents de PERBET joseph Antoine né le 21.09.1909 à saint etienne fils de PEUT etre PERBET Baptiste Pierre et Jeanne VOIRON. Il c'est marié en 1936 à saint etienne avec Clarisse Marie PETIT. Il était mineur pareil impossible de trouvé trace de ses mineurs de st etienne . Je ne rencontre que des gens négatifs pour commencer.
Qui pour m'aider a débuter cette arbre
grand merci
catherine

[tribouillardg]

Bonsoir ;

L'acte de naissance du 21 septembre 1909 concerne la naissance de M. PERBET Joseph Antoine.

Il s'agit de l'acte de naissance n° 2234 du 21.09.1909 :

PERBET Joseph Antoine né à Saint Etienne (Loire) le 21.09.1909 à 8 heures du matin fils de Baptiste Pierre PERBET mineur âgé de 23 ans domicilié au "Grand Coin" et de Jeanne VORON, son épouse, passementière, âgée de 19 ans.

mention marginale à l'acte : Joseph Antoine PERBET a épousé à la mairie de Saint Etienne le 10 Octpbre 1936 Clarisse Marie PETIT.

Il est décédé dans cette même ville le 9 novembre 1981.

Cordialement - Gilles.

[bricor]

Bonjour,

votre demande ne concerne pas les questions techniques diverses liées à généanet.

Je l'ai déplacée dans le forum Loire.

Cordialement

Brigitte

[psaliou]

Bonjour,
Avez-vous cherché aux Archives Municipales de Saint-Etienne en ligne avant de "Grrrrr"?

Peut-être dans ces registres?

https://archives.saint-etienne.fr/

[castagnon]

Je ne rencontre que des gens négatifs pour commencer.
catherine

Bonjour,
Voilà quelques réponses positives...
Cordialement
Florence

[blaise42]

Bonjour à tous
merci de votre aide je n'avais pas pensé aux archives municipales de saint etienne .
J'ai donc fais GRRRRR pour rien car ce matin j'ai trouvé beaucoup de choses.
Me reste à trouver les archives des mines de saint etienne et là je vais refaire GRRRR
Grand merci à vous tous
Catherine l'impatiente

[meucon]

Bonsoir Catherine
Pour les mines vous pouvez écrire à :
ANGDM
Avenue de la Fosse 23
62221 Noyelles sous Lens
Je l'ai fait pour mon père et mon beau père, toute leur carrière y est retracée
Bonne chance (la généalogie est une histoire de patience)
Jean Claude

[blaise42]

Merci pour l'aide Meucon bisous des mineurs de fond

[meucon]

Bonjour Catherine
J'ai très bien connu la personne qui a écrie ce livre :
Visité le musée de la mine à St Étienne, fait des recherches plus sur la vallée du Gier
Jean Claude

[blaise42]

Bonjour Catherine
J'ai très bien connu la personne qui a écrie ce livre :
Visité le musée de la mine à St Étienne, fait des recherches plus sur la vallée du Gier
Jean Claude

merci jean claude je vais me renseigner

[meucon]

Des puits que j'ai connu, mais plus en activités.

[blaise42]

Des puits que j'ai connu, mais plus en activités.

ohhhhhh quelle belle surprise je vais vite les imprimer . les Famille PERBET mineurs habitaient le quartier de cote chaude donc je pense qu ils etaient au mines des puits de la loire.
Grand merci jean claude

[meucon]

Edition Loire Sud Saint-Etienne
Côte-Chaude
Côte-Chaude : histoire d’un nom de quartier
30 juil. 2011 à 00:00 - Temps de lecture : 2 min
| Vu 2425 fois

Orientée sud-ouest, la partie lerptienne du quartier fut la première à être désignée sous l’appellation « Côte-Chaude » /Mireille Cornillon

Chaque région, chaque département, chaque ville possède un nom, parfois cocasse, quelquefois imprononçable, pour désigner ses habitants : les Rhônalpins, les Ligériens, les Stéphanois.

En ce qui concerne les quartiers, tous ne peuvent se prévaloir d’une dénomination propre. Côte-Chaude, lui, en fait partie et même doublement car pour mieux asseoir son appartenance à deux communes, Saint-Étienne et Saint-Genest-Lerpt, il dispose de deux appellations pour désigner ses habitants.

Ainsi entend-on parler tantôt des côtechaudois (es), tantôt de côtechaudaires, sans que les partisans de l’un ou l’autre « patronyme » ne puisse affirmer détenir la version officielle.

Alors, puisqu’il semble impossible de trancher sur l’appellation originelle des habitants de ce quartier, penchons-nous sur la genèse de son nom. Là encore, il existe deux versions. L’affaire n’est pas simple. Car sans qu’il ne soit connu d’origine précise, faute de document ou de trace historique solide, deux explications sont également avancées.

La première trouverait son origine dans le sous-sol même du quartier, dont la richesse en charbon provoquerait le réchauffement des terres. L’on entend même ici et là que le sol fumait en certains endroits de ce trop-plein de charbon qui affleurait.

Fort heureusement, il n’en est rien aujourd’hui car Côte-Chaude, que Louis Soulier, maire de 1919 à 1930 et de 1935 à 1939, avait qualifiée de rempart de la République, serait bien ennuyée de ne pas en respecter les lois, en fumant ainsi en public.

La seconde version, plus communément admise, veut que le nom de Côte-Chaude soit donné aux versants les plus ensoleillés de nos collines, comme c’est le cas sur le versant ouest du quartier.

On trouve également trace d’un hameau qui portait le nom des « Chaux », appellation provenant, comme on l’observe souvent en toponymie, de la nature du terrain.

Par ailleurs, il est cité dans l’ouvrage d’Antoine Vallet, « Les Noms des Rues et Toponymes divers de la commune de Saint-Étienne », un autre « Côte-Chaude » - aujourd’hui disparu mais qui coexistait avec celui dont on discourt ici - situé entre le Mont et le Mont Ferré, ce secteur bénéficiant lui aussi d’un excellent ensoleillement.

Ce qui tend à prouver que la topographie des lieux n’est pas étrangère à la dénomination actuelle de ce quartier et que cette seconde version serait vraisemblablement celle à retenir.

Décidément, Côte-Chaude fait tout en double, lui que la singularité de son histoire et de son territoire rend unique.

[blaise42]

Edition Loire Sud Saint-Etienne
Côte-Chaude
Côte-Chaude : histoire d’un nom de quartier
30 juil. 2011 à 00:00 - Temps de lecture : 2 min
| Vu 2425 fois

Orientée sud-ouest, la partie lerptienne du quartier fut la première à être désignée sous l’appellation « Côte-Chaude » /Mireille Cornillon

Chaque région, chaque département, chaque ville possède un nom, parfois cocasse, quelquefois imprononçable, pour désigner ses habitants : les Rhônalpins, les Ligériens, les Stéphanois.

En ce qui concerne les quartiers, tous ne peuvent se prévaloir d’une dénomination propre. Côte-Chaude, lui, en fait partie et même doublement car pour mieux asseoir son appartenance à deux communes, Saint-Étienne et Saint-Genest-Lerpt, il dispose de deux appellations pour désigner ses habitants.

Ainsi entend-on parler tantôt des côtechaudois (es), tantôt de côtechaudaires, sans que les partisans de l’un ou l’autre « patronyme » ne puisse affirmer détenir la version officielle.

Alors, puisqu’il semble impossible de trancher sur l’appellation originelle des habitants de ce quartier, penchons-nous sur la genèse de son nom. Là encore, il existe deux versions. L’affaire n’est pas simple. Car sans qu’il ne soit connu d’origine précise, faute de document ou de trace historique solide, deux explications sont également avancées.

La première trouverait son origine dans le sous-sol même du quartier, dont la richesse en charbon provoquerait le réchauffement des terres. L’on entend même ici et là que le sol fumait en certains endroits de ce trop-plein de charbon qui affleurait.

Fort heureusement, il n’en est rien aujourd’hui car Côte-Chaude, que Louis Soulier, maire de 1919 à 1930 et de 1935 à 1939, avait qualifiée de rempart de la République, serait bien ennuyée de ne pas en respecter les lois, en fumant ainsi en public.

La seconde version, plus communément admise, veut que le nom de Côte-Chaude soit donné aux versants les plus ensoleillés de nos collines, comme c’est le cas sur le versant ouest du quartier.

On trouve également trace d’un hameau qui portait le nom des « Chaux », appellation provenant, comme on l’observe souvent en toponymie, de la nature du terrain.

Par ailleurs, il est cité dans l’ouvrage d’Antoine Vallet, « Les Noms des Rues et Toponymes divers de la commune de Saint-Étienne », un autre « Côte-Chaude » - aujourd’hui disparu mais qui coexistait avec celui dont on discourt ici - situé entre le Mont et le Mont Ferré, ce secteur bénéficiant lui aussi d’un excellent ensoleillement.

Ce qui tend à prouver que la topographie des lieux n’est pas étrangère à la dénomination actuelle de ce quartier et que cette seconde version serait vraisemblablement celle à retenir.

Décidément, Côte-Chaude fait tout en double, lui que la singularité de son histoire et de son territoire rend unique.

Ca tombe bien je cherchais le quartier de saint etienne car je suis dans le recencement de 1936 pour retrouver l'epouse de mon perbet PETIT clarisse marie son père était aussi mineur né a la Ricamarie en 1912 et mariée en 1936 je repars avec mon aiguille dans une botte de foin pour trouver les parents de ma clarisse

[meucon]

Re
Mes recherches se sont plutôt situées sur le bassin miniers de la vallée du Gier, mais St Etienne ne m'est pas étrange. Dans une période de mon activité, je faisais des livraisons dans tout St Étienne.
https://journals.openedition.org/dht/633
Liste des puits de mines sur le bassin de St Etienne : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_puits_du_bassin_houiller_de_la_Loire
Si vous me donnez plus de précision sur : le recensement de 1936, je peux voir avec la personne qui m'aide pour les archives de La Loire
Bon dimanche
Jean Claude