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Recherches aux Archives militaires de Fribourg en Brisgau

renaudo33
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Bonjour à toutes et à tous,

Dans le cadre d'un travail de mémoire (rédaction d'un ouvrage) entrepris par la section départementale de la Gironde de l'AAGEF-FFI (Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France - FFI), association d'anciens combattants, en tant qu'archiviste en son sein, je suis à la recherche de documention sur la présence et le départ de l'occupant allemand à Bordeaux (1940-1944), conservée au Bundesarchiv-Militärarchiv de Freiburg im Breisgau.

Je sais bien que si je n'effectue pas le déplacement moi même l'Amicale devra alors s'acquiter d'une somme de près de 300 € pour faire appel aux services d'un professionnel.
C'est pour cela que je poste ce message sur le forum du Haut-Rhin car votre département est situé à proximité de la commune de Fribourg en Brisgau.

Un de vous y ferait-il actuellement des recherches ou bien accepterait-il de nous apporter son aide en s'y rendant afin d'y prendre des clichés photographiques des registres intéréssés ?

En vous remerciant beaucoup pour l'intérêt que vous aurez porté à ma requête et pour la précieuse aide que vous pourriez nous apporter.

Bien cordialement

Stéphane Cursan
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renaudo33 escribió: 25 Noviembre 2018, 23:23 Bonjour à toutes et à tous,

Dans le cadre d'un travail de mémoire (rédaction d'un ouvrage) entrepris par la section départementale de la Gironde de l'AAGEF-FFI (Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France - FFI), association d'anciens combattants, en tant qu'archiviste en son sein, je suis à la recherche de documention sur la présence et le départ de l'occupant allemand à Bordeaux (1940-1944), conservée au Bundesarchiv-Militärarchiv de Freiburg im Breisgau.

Je sais bien que si je n'effectue pas le déplacement moi même l'Amicale devra alors s'acquiter d'une somme de près de 300 € pour faire appel aux services d'un professionnel.
C'est pour cela que je poste ce message sur le forum du Haut-Rhin car votre département est situé à proximité de la commune de Fribourg en Brisgau.

Un de vous y ferait-il actuellement des recherches ou bien accepterait-il de nous apporter son aide en s'y rendant afin d'y prendre des clichés photographiques des registres intéréssés ?

En vous remerciant beaucoup pour l'intérêt que vous aurez porté à ma requête et pour la précieuse aide que vous pourriez nous apporter.

Bien cordialement

Stéphane Cursan
Bonjour Stéphan CURSAN

CONCERNANT VOTRE DEMANDE VOICI LE SITE POUR CONSULTER LES ARCHIVES ALLEMANDES DE FREIBURG EN BREISGAU
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N° de Tél :des archives 0761 47817 864
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Voici quelques pages de l’histoire de l’occupation Allemande rédigé par Madame Brigitte VIDAL-DURAND en 1997, bonne lecture

Bordeaux, 1er juillet 1940, 23 heures, l'horloge passe à l'heure allemande. Du 27 juin 1940 au 27 août 1944, chronique de l'Occupation au quotidien, dans la ville où Papon prend ses fonctions en mai 1942.
1940: l'ordre «nouveau»
27 juin. Deux phrases dans un coin de page de la Petite Gironde: «Jeudi matin, un détachement allemand a traversé la ville pour se rendre vers les lieux d'occupation. Il n'y a eu aucun incident.» Le 28, le général von Faber du Faur installe ses troupes dans les casernes, l'administration allemande dans les grands hôtels du centre-ville, la Feldkommandantur à la cité universitaire. Les travaux d'aménagement (2 millions de francs) sont à la charge de la commune. Bordeaux appartient désormais à la «zone occupée». Jusque-là, les 200 000 habitants vivaient au rythme des bombardements de mai et de juin, la ville croulait sous l'afflux des réfugiés de l'exode (plus de 1 million en Gironde).
Le 1er juillet, le préfet Bodenan fait les honneurs des salons de la préfecture au général allemand. Il lui offre des fleurs, un vase de cristal, cadeaux habituels de la Gironde à ses hôtes de marque. Au palais Rohan, siège de l'hôtel de ville, Adrien Marquet, un ancien socialiste réélu maire en 1935, plaide pour «l'ordre nouveau qui doit supprimer les inégalités, les injustices et les misères». Adrien Marquet vient d'être nommé ministre de l'Intérieur du premier gouvernement Pétain. A Vichy comme à Bordeaux, il va s'appliquer à «concilier les points de vue allemand et français». Bordeaux se transforme en trois jours. Le drapeau hitlérien flotte sur les édifices. Dans le port, les bateaux cèdent la place aux croiseurs et aux sous-marins. Les commerçants ont obligation d'accepter la monnaie allemande, 1 Reichsmark pour 20 F. Les troupes de la Wehrmacht ont la priorité dans les tramways. Le 1er juillet, à 23 heures, l'horloge de la cathédrale Saint-André est avancée d'une heure. Bordeaux se met à l'heure allemande. L'heure des «avis à la population»: avis de déposer, avant le 5 juillet 18 heures, les armes à feu à la Feldkommandantur et les fusils de chasse à la mairie; avis de ne pas klaxonner («Toute circulation dans l'intérêt privé en vue d'amusement est interdite», annonce la préfecture); avis de porter sur soi sa carte d'identité, de rédiger en allemand toute demande à l'administration, de camoufler les lumières. Puis, vient le régime des «jours sans viande»: les boucheries interdites le mercredi, jeudi, vendredi, les charcuteries, le jeudi et vendredi, le cheval et triperie, le vendredi. Après la surprise, les Bordelais commencent à protester. Au cinéma, où l'on donne la Route enchantée avec Charles Trenet, les spectateurs manifestent pendant les actualités. Le préfet avertit: «Une demi-clarté sera maintenue dans la salle et, en cas d'incident (cris de désapprobation, exclamations, opposition, etc.), la direction devra faire immédiatement pleine lumière ["] Les coupables seront arrêtés et incarcérés par les autorités allemandes.» Les autorités françaises tentent de calmer la mauvaise humeur. Conseil de la Petite Gironde: «Comprendre et se résigner.» Avertissement de la préfecture: «Toute lacération d'affiche apposée par l'autorité allemande est considérée comme un acte de sabotage et sera punie de la peine de mort.» Le 11 septembre, l'archevêque de Bordeaux, Mgr Feltin, appelle «au zèle et à la discipline» tous les curés, vicaires et aumôniers. Il demande aux catholiques «ordre, discipline et correction dans leurs relations avec les autorités allemandes», et prie les membres du clergé de «s'abstenir de toute politique». A l'automne, la vie reprend doucement: en foot, les Girondins BFC écrasent le Red Star olympique de Paris 8-0. Mais il y a couvre-feu de 23h30 à 3 heures, réduction obligatoire de la consommation de gaz. Le 17 octobre est publié un «avis aux israélites» pour qu'ils retirent, avant le 20 octobre à 18 heures, les formulaires des déclarations obligatoires de recensement. Il y a peu de protestations. Le 22 octobre, 5 172 personnes et 403 entreprises sont déclarées à l'administration. «Le gouvernement respecte les personnes et les biens des israélites, il les empêche seulement d'assurer certaines fonctions sociales», expliquent les journaux qui déplorent«l'influence juive ["] insinuante et finalement décomposante». Le 24 a lieu l'entrevue entre Hitler et Pétain à Montoire. Le 27, les courses de chevaux reprennent à l'hippodrome du Bouscat. A la Toussaint, une pluie «implacable et tenace» tombe. La chasse est ouverte. Seuls les militaires de la Wehrmacht ont le droit de la pratiquer, les Bordelais ne sont autorisés qu'à «détruire le lapin sauvage». Le 16 novembre, le maire Adrien Marquet annonce la démission de son adjoint Joseph Benzacar, 78 ans, frappé par le statut des juifs promulgué par Vichy en octobre. Un seul élu, Haurigot, commente: «Nous devons le regretter, car c'était un excellent homme.» Début décembre, à la gare Saint-Jean, un premier convoi de travailleurs, tous volontaires, part pour l'Allemagne: 115 hommes, terrassiers, charpentiers, mécaniciens, chômeurs, un père de douze enfants, prennent le train de 12h52. Direction Hambourg. A la fin de l'année, le Faust de Gounod est joué au Grand Théâtre.
1941: amendes et représailles Dans la nuit du 19 au 20 janvier, le sous-officier Heitz est attaqué par trois inconnus, place de la Cathédrale. Quarante-huit heures après, le général von Faber du Faur impose à la ville une amende de 2 millions de francs et un dépôt de garantie de 4 millions. La somme doit être «produite par la population tout entière» avant le 27 janvier. Deux mois plus tard, la garantie est restituée «en raison de l'attitude correcte de la population». La municipalité pose des centaines de plaques de rue. Les Bordelais savaient se repérer sans, pas les Allemands. Les grands négociants en vin font d'excellentes affaires: Heinz Bömers, le Weinführer dépêché par Berlin, est un ami de longue date des marchands des Chartrons. Fin avril, un ancien député, Henri Labroue, agrégé d'histoire, fonde un institut des questions juives, deux semaines avant l'institut parisien.
Le premier week-end de mai, les journaux annoncent que 111 adolescents «reprennent le goût du travail et l'amour de l'effort» au centre de jeunesse du bassin d'Arcachon où «ils ensemencent la terre, défrichent les forêts sous le signe de la bonne humeur». Le 10 mai, grand week-end de courses landaises. Le 15, la campagne de battage pour la moisson bat son plein. Deux nouveaux avis sont publiés. L'un à l'adresse des familles des «criminels» qui commettent attentats et sabotages: leurs proches parents masculins seront fusillés, les femmes envoyées aux travaux forcés, les enfants en maison d'éducation surveillée. L'autre interdit aux juifs l'accès de dix-sept lieux: jardins publics, théâtres, écoles. Le 6 août, on donne le départ de la course cycliste Bordeaux-Angoulême. Fin août, la police municipale est paralysée comme tout Bordeaux par la pénurie de carburant. C'est le cheval César qui tire la voiture cellulaire transportant les détenus. Le 20 août, un nouveau conseil municipal s'installe, désigné par Darlan, ministre de l'Intérieur. «Les partis ont disparu. Ils étaient des machines à interpréter les circonstances», se félicite le maire, Adrien Marquet, maintenu à son poste. Le tribunal correctionnel condamne les époux S. et Marie G., à huit mois de prison et 200 f d'amende. Marcel S., démobilisé en 1940, avait appris que «sa femme s'était mal conduite pendant son absence». Il a accepté de reprendre la vie commune à condition qu'elle avorte, Marie G. a fait l'opération. Le foetus était enfoui dans le poulailler. Une journalière de 52 ans, Marie Dupin, surprise à minuit dans un champ en train de ramasser deux sacs de pommes de terre, est condamnée à quatre mois de prison. Alfred B., docker, avait chanté l'Internationale au nez d'un brigadier de la sûreté. Le tribunal «admet l'excuse de l'ivresse»: un mois de prison et 600 F d'amende. Un tribunal spécial, chargé des «affaires à caractère communiste et anarchiste», siège pour la deuxième fois: il condamne Pierre Julien, 20 ans, et Pierre Facirès, 30 ans, à quinze années de travaux forcés pour distribution de tracts. Le 24 octobre, 50 otages sont fusillés en représailles de l'assassinat d'un officier allemand, le conseiller Reimers. Le même jour, Bordeaux et quinze villes voisines doivent verser 10 millions de francs avant 18 heures. Les conseillers paient à 17 heures, engagent la population à «seconder les pouvoirs publics dans la recherche des coupables» et déposent une couronne sur le cercueil. Le colonel Wolf leur adresse une lettre de remerciements.
Trois cents petits commerces juifs ont été fermés dans l'année, les entreprises plus importantes, une centaine, sont passées sous le contrôle de propriétaires «aryens».
1942: premières rafles Le 19 janvier, la préfecture de la Gironde révèle que les dénonciations anonymes augmentent. Le préfet dénonce ces pratiques «qui risquent de jeter la discorde parmi les Français». Désormais, une enquête de police sera ordonnée et les coupables feront l'objet de sanctions «extrêmement sévères». Le même mois, les rugbymen reprennent le Challenge de l'amitié. Du 27 mars au 10 mai, l'exposition itinérante «Le Juif et la France» fait halte à Bordeaux. Avec 60 000 visiteurs, le succès est immense, on y emmène les enfants des écoles. En avril, Maurice Sabatier devient préfet de région. Le 4 avril, les cinémas projettent Circonstances atténuantes, avec Michel Simon et Arletty. «Un film ultra gai», vante la publicité. Le 16 mai, Maurice Papon devient secrétaire général de la préfecture de la Gironde. Le 15 juillet à 21 heures, débute une première rafle de 70 juifs.
En août, le stade accueille le championnat de France d'athlétisme. Le 26 août, 443 juifs sont transférés à Drancy. Le 5 septembre, une section locale du groupe Collaboration inaugure son siège. Le 10 octobre, «à l'approche de la mauvaise saison et de la rentrée scolaire», la ville fait fabriquer 7 600 paires de sabots en bois blanc. Le lait pour nourrisson passe de 4 F à 5,20 F, l'accueil à la crèche de 2 à 5 F. La distribution de saccharine est fixée à cent pastilles par personne pour les six mois à venir. Le 7 novembre, Pétain lance la campagne d'hiver du Secours national sur le thème: «Si chacun de vous fait un geste, tous les Français seront sauvés.»
1943: sous les bombes Le 30 janvier, la municipalité envoie chocolats et brochures aux prisonniers. Le 13 février, elle cofinance l'exposition «Le bolchévisme contre l'Europe», grand succès public. Le 20 mars, on remplace les cercueils en chêne par des cercueils en bois blanc façon chêne «en tous points semblables». Le 17 mai, la ville subit la plus grave des quatorze attaques aériennes depuis le début de la guerre. La municipalité de Biarritz exprime sa sympathie aux victimes de cette «révoltante agression de la part des forces aériennes anglo-saxonnes», et celle de Ducey (Manche) envoie 4 boeufs, 31 veaux, 100 kilos de beurre, 8 000 oeufs. Bordeaux décide d'adopt er moralement les orphelins. Le 30 mai, deux manifestations artistiques fêtent la Journée des mères.Au début de l'été, le service des réquisitions des biens juifs fait ses comptes: 19 trains de 40 wagons sont partis pour l'Allemagne remplis de meubles, de vaisselles, de vêtements. La chaleur accable la ville, les piscines sont bondées. La durée du bain, fixée à une heure «habillage et déshabillage compris», est dépassée par les baigneurs. Le 7 août, le cheval Ardent, du service des inhumations, est «proposé pour la réforme» en raison de sa vieillesse. Le 30 août, s'achève le Grand Prix cycliste des Charentes. Le 19 septembre, le chef de la Résistance bordelaise, André Grandclément, est arrêté à Paris.
L'hiver est très froid. Dans la nuit du 20 au 21 décembre, 108 juifs sont arrêtés. Le 30, un nouveau convoi part pour Drancy.
1944: dernières exécutions Le 9 janvier, à la cathédrale Saint-André, se déroulent les obsèques des victimes d'un bombardement. Au premier rang, le préfet Sabatier, le maire, le Feldkommandant général Knoerzer et Maurice Papon. L'exposition Van Dongen est prolongée, les Girondins sont qualifiés pour les 8es de finale de la coupe de France de football. Le 6 février, Joseph Benzacar, l'ancien adjoint au maire destitué en 1940, et son épouse sont internés au camp de Mérignac. Ils ne reviendront pas d'Auschwitz.
Le commissariat à la mobilisation des métaux non ferreux remet à la ville un chèque de 1,5 million: le prix des ornements de bronze enlevés au Monument des Girondins. La maison Huilor expédie 115 litres d'huile de foie de poisson aux enfants des travailleurs français en Allemagne. La bibliothèque organise des «causeries» pour suppléer à la suppression des périodiques et chroniques littéraires. Une saison d'opérette est lancée au Grand Théâtre. 650 paires de galoches à tige montante en cuir et semelle de bois sont fournies aux employés municipaux.
Le 26 mai, la ville est encore bombardée. Le 21 juin, quelques jours après le débarquement en Normandie, deux convois partent encore pour Drancy. Le 1er août, 48 résistants sont fusillés. Le 5, le maire Adrien Marquet proteste auprès du délégué régional de la Milice qui, sans autorisation municipale, a rebaptisé la place de la République place Philippe-Henriot, du nom du secrétaire d'Etat à l'Information, speaker de Radio-Vichy, qui vient d'être exécuté par la Résistance. Le maire estime qu'«avec le temps, amis et adversaires d'Henriot s'élèveront à la sérénité qui permettra qu'hommage soit rendu à la mémoire d'un homme qui ["] a payé de sa vie la politique qu'il défendait». Le 22 août, Marquet préside son dernier conseil. Le 27, les Allemands quittent Bordeaux .
Brigitte VITAL-DURAND
Amicalement a vous un ancien archiviste, bon courage
René
renaudo33
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Bonjour Monsieur,
Je vous remercie beaucoup pour essayer de nous aider mais je dois malheureusement vous avouer que je n'ai pas compris votre message.
Notre amicale souhaite consulter des documents précis et nous connaissons leurs cotes. Nous savons que nous ne pouvons rien espérer en effectuant une demande en ligne.
Si l'un d'entre-vous devait se rendre aux Archives militaires, accepterait-il donc de nous aider en photographiant un ou plusieurs registres ?
Encore merci
Bien cordialement
Stéphane Cursan
renaudo33
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Cela me semble évident ! Pour mettre toutes les chances de mon côté.
Si des membres domiciliés dans le Haut-Rhin ne sont pas en mesure de m'apporter leur aide, peut-être que ceux du Bas-Rhin le peuvent, et inversement.
bricor
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renaudo33 escribió: 28 Noviembre 2018, 11:37 Cela me semble évident ! Pour mettre toutes les chances de mon côté.
Si des membres domiciliés dans le Haut-Rhin ne sont pas en mesure de m'apporter leur aide, peut-être que ceux du Bas-Rhin le peuvent, et inversement.
Bonjour,

J'ai verrouillé l'autre fil. Je suis certaine que les personnes qui répondent sur les forums cliquent sur "nouveaux messages" et répondent en fonction des sujets et pas de leur localisation, bas ou haut Rhin.

Comme je vous l'ai expliqué et déjà écrit à longueur de forums, la dispersion des réponses sur plusieurs fils fait perdre du temps aux gens qi aident.

Je suis certaine que lorsque vous même aiderez vous en prendrez conscience.

Inutile de continuer à m'écrire en messagerie personnelle.

Merci de votre compréhension.

Brigitte
Modératrice bénévole sans lien de subordination avec généanet.

Mes relevés des Vaudois du Luberon :
https://gw.geneanet.org/essaisbrigitte
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renaudo33 escribió: 28 Noviembre 2018, 11:37 Cela me semble évident ! Pour mettre toutes les chances de mon côté.
Si des membres domiciliés dans le Haut-Rhin ne sont pas en mesure de m'apporter leur aide, peut-être que ceux du Bas-Rhin le peuvent, et inversement.

Bonjour Stéphan CURSAN

CONCERNANT VOTRE DEMANDE VOICI LE SITE POUR CONSULTER LES ARCHIVES MILITAIRES ALLEMANDES DE FREIBURG EN BREISGAU
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Pas besoins de bénévoles

Amicalement
renaudo33
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Bonjour Monsieur,

Vous affirmez donc ici qu'il n'est pas nécessaire de se déplacer en Allemagne mais qu'il suffit de s'inscrire sur le site invenio pour consulter gratuitement les documents conservés aux Bundesarchiv Militär ??

Bien cordialement

Stéphane
gwinkelmuller
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rc12361 escribió: 26 Noviembre 2018, 23:46 Bonjour Stéphan CURSAN

CONCERNANT VOTRE DEMANDE VOICI LE SITE POUR CONSULTER LES ARCHIVES ALLEMANDES DE FREIBURG EN BREISGAU
Vous allez sur le site : [email protected]
[email protected] est une adresse de courriel et pas un url de site !!!
l'adresse du site est: invenio.bundesarchiv.de
renaudo33
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Merci Monsieur,

J'ai bien fait la différence entre ces deux adresses. Je possède déjà les côtes des documents qui m'intéressent. Le problème c'est que je suis dans l'impossibilité de me rendre aux Archives de Fribourg et que je sollicite ainsi l'aide des internautes.

Je peux toujours les contacter pour leur demander d'effectuer ces recherches à ma place mais cela me coutera un bras, et j'avoue que je n'en ai pas trop de deux.

Bien cordialement

Stéphane
freddulac
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Bonjour,

Je ne suis pas loin de Freiburg et m y rends très souvent pour flâner. Je connais très bien la ville également pour y avoir vécu dans ma jeunesse. Je suis prêt à vous rendre ce service. Pour le moment cela risque peut être d être un peu compliqué au vue de la situation mais dès que possible ce sera avec plaisir.
llabalme
male
Mensajes: 2
bonjour M.FREDULAC, pour ma part je recherche aussi de l'aide, je peux vous donner une petite rémunération?
titi77310
male
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Bonjour Renaudo33

etes-vous donc aller a Fribourg en Breisgau ? ou peut-on utiliser un site pour ces archives militaires ?

merci pour toute réponse (c'est aussi pour un travail de mémoire)

titi77310
renaudo33
renaudo33
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Bonjour titi77310,

Non ! Je n'ai toujours pas eu l'occasion d'effectuer mes recherches aux Archives de Fribourg :( Mais la période est tellement compliquée aussi :/

Effectivement ces Archives ont leur propre site Web (invenio.bundesarchiv.de) mais il ne vous permettra "que" de retrouver les côtes des registres que vous souhaitez consulter. L'Etat des fonds est très bien fait, et chaque registre bien défini.

Ensuite vous pourrez contacter un responsable ([email protected]) mais il ne fera pas les recherches à votre place. Vous pouvez par contre solliciter les services d'un chercheur qui lui s'en chargera, mais il faudra le rémunérer... au quart d'heure !

Je crois que j'ai 3 ou 4 (ou 5 ?) registres à consulter, mais je ne me rends pas compte du temps que le travail de collecte pourrait durer. Et puis à combien de documents a-t-on le droit d'accéder par journée ? J'ai du le lire (c'est certainement indiqué sur leur site d'ailleurs) mais je n'en pas le souvenir ici.

Peut-être qu'à plusieurs intéressés on pourrait organiser un "voyage" là haut... mais même si cela se fait, j'ai du mal à imaginer quand ! Si j'ai de nouvelles informations, je saurai vous en faire part.

Stéphane
titi77310
male
Mensajes: 14
Bonjour Stéphane
d'accord, on se tient au courant de nos avancées ;)
merci
Didier
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